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系統識別號 U0002-1007200600114000
DOI 10.6846/TKU.2006.00200
論文名稱(中文) 漢法語言交際時法語介詞詞組的對應問題探討
論文名稱(英文) A study on the problem of the prepositional group in the interlingual transformation between the Chinese Mandarin and the French
第三語言論文名稱 Étude sur le problème du syntagme prépositionnel dans le transfert interlingual entre le chinois mandarin et le français
校院名稱 淡江大學
系所名稱(中文) 法國語文學系碩士班
系所名稱(英文) Department of French
外國學位學校名稱
外國學位學院名稱
外國學位研究所名稱
學年度 94
學期 2
出版年 95
研究生(中文) 張萱
研究生(英文) Hsuan CHANG
學號 692270076
學位類別 碩士
語言別 繁體中文
第二語言別 法文
口試日期 2006-06-15
論文頁數 117頁
口試委員 指導教授 - 李佩華
委員 - 劉順一
委員 - 曾明
關鍵字(中) 漢語
法語
語際轉換
翻譯
介詞詞組
關鍵字(英) Chinese Mandarin
French
interlingual language transformation
translation
prepositional group
第三語言關鍵字 chinois mandarin
francais
transfert interlingual
traduction
syntagme prepositionnel
學科別分類
中文摘要
在現代全球化社會中,由於人類語際交流日益頻繁,翻譯的功能與重要性也就更為突顯,成為一門十分重要的學科。本論文以漢語及法語為研究語言,從語言學層面、語際轉換層面、介詞詞組到文本對應實例,研究探討漢語與法語的差異及語言特性。

世界上的語言依照語系的相同與否分為親屬語及非親屬語:親屬語間有同源關係,詞彙與句法結構相似,因而語言的差異較小;非親屬語間則因沒有同源關係,語言的差異較大。漢語與法語分屬於漢藏語系及印歐語系,為非親屬語,兩者在語言各個層面的差異極大,包括文字系統、詞彙、語言形態、語序、詞類與句子成份的對應關係等方面;然而,透過語際轉換的方式,還是可以達到溝通的目的。在兩者進行語際轉換的過程中,除了要對漢、法語言及社會文化背景有深入的了解,尚需遵守一定的語際轉換原則與規定,才能使譯文既符合譯語的使用習慣,也能忠實表達原語的語意。

漢語與法語中都有介詞詞組,兩者在組成成份上是一致的,即介詞加名詞或名詞詞組,且漢、法語介詞詞組的使用頻率都很高,介詞詞組中的介詞也都不能任意省略,其在語言裡扮演著不可或缺的角色。論文中比較了漢、法語介詞詞組,再透過對語際轉換文本實例的分析,包括《靈山》(La montagne de l’âme)、《妻妾成群》(Épouses et concubines)、《脂肪球》(Boule de suif)、《異鄉人》(L’Étranger)四個文本的原文本與譯本,從詞類轉換、語義功能、位置對應這三方面探討了漢、法語言交際時,法語介詞詞組在漢語中的對應問題,並由此歸納出漢、法語各自的語言特性。
英文摘要
The Chinese Mandarin belongs to the Sino-Tibetan language family; the French belongs to the Indo-European language family. There are lots of differences between these two languages, including the character system, vocabulary, form of language, word order, corresponding relations between parts of speech and sentence component. However, through ways of interlingual language transformation, the communication is still achievable. In the process of the interlingual language transformation, we should not only deeply understand the Chinese Mandarin, the French along with their society and culture, but also observe rules and principles of transformation. Therefore, the translation can conform to the using habit of the target language and also express the faithful meaning of the source language.

In the thesis, I have compared the prepositional group of the Chinese Mandarin and the French and then analyzing the originals and translated versions of four texts, Soul mountain, Raise the red lantern, Ball-of-tallow, The stranger. I discussed the problems of prepositional group in the interlingual language transformation between the Chinese Mandarin and the French in three aspects: the conversion of parts of speech, semantic function, and corresponding position. Through these processes, I induced special characteristics for both languages.
第三語言摘要 Résumé Étude sur le problème du syntagme prépositionnel dans le transfert interlingual entre le chinois mandarin et le français CHANG, Hsuan Dans ce mémoire, je tente de comparer le chinois mandarin et le français sur quatre différents aspects : la linguistique, le transfert interlingual, la préposition et le syntagme prépositionnel, et la situation de la correspondance du syntagme prépositionnel dans le transfert interlingual. J’essaie aussi de définir quelques caractéristiques de langue du chinois mandarin et du français. Le mémoire consiste en six chapitres, le premier est l’introduction, le deuxième porte sur une comparaison linguistique entre le chinois mandarin et le français, le troisième porte sur une comparaison sur le plan du transfert interlingual entre le chinois mandarin et le français, le quatrième porte sur une recherche du syntagme prépositionnel du chinois mandarin et celui du français, le cinquième, c’est trouver les caractéristiques de langue du chinois mandarin et celles du français par les exemples de syntagmes prépositionnels français et leur correspondance dans le chinois mandarin, et le sixième est la conclusion. Chapitre Ⅰ : Introduction Ce chapitre comporte quatre parties : motivation de recherche, hypothèse de recherche, méthode de recherche et cadre de recherche. Dans ce chapitre, j’introduis la recherche de tout mon mémoire. Chapitre Ⅱ : Comparaison linguistique entre le chinois mandarin et le français Dans le système de l’écriture, l’écriture chinoise est l’idéogramme, il existe une connexité entre sa forme et son sens, chaque mot est créé pour un sens particulier. Depuis des millénaires, l’écriture chinoise a changé beaucoup de type de caractère, mais sa caractéristique idéographique n’a pas changé, elle est toujours une unité sémantique, et pas une unité phonétique, donc on peut connaître le sens d’une écriture chinoise quand on la voit. Par exemple, de la part de temps, on ne peut pas comprendre la parole des personnes de la Dynastie Han car il y a une grande différence entre la phonétique de deux époques, mais on peut comprendre le sens de l’écriture qu’ils écrivaient parce qu’on écrit le même type de caractère – Kai Shu qu’eux. De la part de l’espace, si deux chinois parlent des dialectes très différents et ils ne peuvent pas communiquer par langue parlé, ils peuvent se comprendre par l’écriture ; c’est parce que l’écriture chinoise n’est pas maîtrisée par la phonétique, mais par l’idéogramme. L’écriture française est l’écriture phonétique, le mot est composé de lettre(s) et aussi par signe(s) phonétique(s), il existe une connexité entre la phonétique et le sens. En chinois mandarin, il existe six modes de formation de caractère : Xiang xing (image schématique), Zhi shi (symbole indicatif), Hui yi (agrégat logique – de 2 ou plusieurs caractères simples), Xing sheng (complexe phonique - sème + phonème), Zhuan zhu (transfert de signification – extension du sens primitif), et Jia jie (emprunt – acception d’un caractère dans un sens qui ne lui appartient pas originellement), on appelle ces six modes “Liu shu”. Les modes de formation des caractères français, c’est changer l’ordre des lettres ou combiner deux mots pour créer un nouveaux. L’écriture française comporte trois sortes de mot : fonds primitif, mot d’emprunt et mot créé. Le trait du caractère est le moindre unité de l’écriture chinoise, tous les caractères chinois sont composés par des traits. Quand on écrit, il y a un ordre fixe d’écriture des traits de chaque caractère chinois, et chaque trait a sa place du commencement et de la fin. Les caractères français se composent de vingt-six lettres, quand on écrit, c’est de gauche à droite, et il existe aussi un ordre d’écriture des lettres, mais il est beaucoup plus simple que celui des caractères chinois. Tous les caractères chinois appartiennent à une classification radicalle s’appellant Pu Shou, par exemple, “刀” et “刂” sont la classification de “couteau” ; “火” et “灬” sont la classification de “feu”. Les caractères français ont aussi des classifications, par exemple, le préfixe “psych(o)-” signifie l’âme et l’esprit ; le suffixe “-isme” signifie l’idée directrice, le principe et la doctrine. Les caractères français se rangent en ligne, ils ne sont pas comme les caractères chinois. Les caractères chinois sont les caractères plans, ils se forment dans un carré et se développent dans plusieurs directions. Avec de différentes façons de composition et des changements de quantité, ils deviennent des caractères différents. À compter de la période postérieure de la Dynastie Shang (Chia Ku Wen, inscriptions sur les carapaces de tortues ou sur les os de bêtes), plus de trois mille années, les caractères chinois ont un long passé, c’est le plus long du monde. Quant aux autres systèmes de l’écriture, par exemple, les caractères cunéiformes, bien qu’ils aient apparu avant les caractères chinois, maintenant, personne ne les utilise plus. Et les caractères chinois, ils se développent toujours avec la société, même si le temps passe, ils changent seulement le type de caractères, la connexité entre la forme et le sens est stable quand même. Le type de caractères français comporte l’écriture régulière, la cursive et l’italique, les formes n’ont pas de grandes différences. Il existe aussi la majuscule et la minuscule. Dans le système de mot, le chinois mandarin est une langue monosyllabique, les mots et les groupes de mots sont composés par les caractères. Les manières composantes sont très variés, il n’a pas besoin de conjonction entre les caractères d’une groupe de mots, et si les caractères échangent leur ordre ou se répètent, ça peut devenir un autre mot. La plupart des mots de chinois mandarin ancien sont les monosyllabes, à l’époque contemporaine, il existe déjà beaucoup de dissyllabes et polysyllabes. Le français est une langue polysyllabique, on peut ajouter un préfixe ou un suffixe devant ou derrière un mot, alors ça peut devenir un nouveau mot. Les méthodes de former les mots chinois et français sont : composé, dérivation, répétition, abréviation…etc. Le chinois mandarin et le français ont également les polyphones et les homophones, le chinois mandarin a les mots Po Yin, un mot change sa prononciation en raison de l’utilisation différente, la consonne initiale et la voyelle sont souvent totalement changées. La prononciation des mots français est très régulière, dans la majorité des cas, un mot ne change pas sa prononciation en raison de l’utilisation différente. Et puis, comme chaque caractère chinois a seulement une syllabe, la quantité des syllabes de mots est limitée, mais les nouveaux mots se multiplient, alors un problème apparaît, c’est le manque de syllabes, donc les homophones sont très importants dans le système de mot chinois, et les homophones, ce sont les mots différents avec la même prononciation. Pour satisfaire les besoins de l’expression, d’une part, le chinois mandarin crée beaucoup de dissyllabes et polysyllabes, et d’autre part, il a un système de ton très développé. Le français a aussi les homophones, il n’a pas une limitation de la quantité des syllabes, il y a un grand nombre de combinaisons phonétiques, alors les homophones français ne sont pas aussi nombreux que ceux du chinois mandarin. Ensuite, il existe les paronymes dans le français, les paronymes, comme les homophones, sont les mots qui ont une forme similaire, du fait que le français est une écriture phonétique. De la part du sens de mot, le chinois mandarin et le français ont aussi les mots polysémiques et les synonymes. Les mots chinois, en général, sont polysémiques, il y a le sens propre et le sens figuré. Et la plupart des mots français, comme ceux du chinois mandarin, sont aussi polysémiques. La polysémie est le résultat inévitable du développement de la langue. Tous les mots sont d’abord monosémiques, mais la quantité des mots est beaucoup moins nombreuse que les choses et les objets du monde, alors il faut exprimer un autre sens par un mot original, c’est pourquoi les mots sont souvent polysémiques. Il y a aussi les synonymes, c’est-à-dire les mots différents avec le même concept. On dit que les mots qui ont un sens identique ou très voisin sont des synonymes, mais en effet, c’est rare de voir des mots qui ont un sens complètement équivalent, il existe souvent des nuances du sens des synonymes. Leur sens propre est identique, mais il y a des différences dans d’autres aspects comme le sens péjoratif et mélioratif, l’intensité et le champ sémantiques, l’objet d’adaptation... etc. Les synonymes existent pour satisfaire les besoins de l’expression du sens précis. Grâce aux synonymes, les mots de langue se multiplient, et ils créent un état avantageux pour l’expression de langue. Les langues sont souvent classées selon des types structurels. On distingue alors des langues isolantes, agglutinantes, flexionnelles et polysynthétiques ou «incorporantes». On cite souvent le chinois mandarin comme exemple classique du type des langues isolantes ou «analytiques», tous ses mots sont invariables, quelle que soit leur fonction, le nombre, le genre des noms, et le temps des verbes. Et le français, c’est une langue du type flexionnel ou «fusionnant». Les mots chinois manquent de la flexion stricte, ils n’ont pas la marque flexionnelle, c’est-à-dire, pas comme les mots français, dans le chinois mandarin, les noms n’ont pas la flexion du genre (masculin, féminin) et du nombre (singulier, pluriel), les adjectifs n’ont pas la flexion du genre, du nombre et de la comparaison (comparatif, superlatif), les verbes n’ont pas la conjugaison des temps (simples, composés, surcomposés), de la voix (active, passive, pronominale), du mode (indicatif, impératif, subjonctif, conditionnel, infinitif, participe) du fait de la personne (1ère, 2ème, 3ème personne du singulier et du pluriel) et du temps (présent, passé, futur), la forme des mots chinois ne change pas dans toutes les situations, alors pour exprimer le sens et la mission grammaticaux, les mots chinois ne peuvent pas, comme le français, dépendre de la flexion, ils utilisent les mots-outil ou dépendent de l’ordre des mots. Dans le français, la flexion est une existence absolue, on doit l’utiliser, il n’y a pas de choix, le français est une langue hypotaxis qui est strictement limitée par la flexion ; le chinois mandarin est une langue parataxis, il a seulement quelques marques qui ressemblent à la flexion, elles sont tous conditionnées et on peut choisir si l’on les utilise ou pas. Le parataxis permet que les unités de langue du chinois mandarin peuvent se combiner sous le principe d’avoir des sens corrects, et ils ne sont pas limitées par la flexion ; les moyens d’exprimer la langue chinoise sont très élastiques. Alors on dit que la plus grande différence entre le chinois mandarin et le français, c’est que les mots chinois manquent de flexion stricte. Du point de vue de l’ordre des mots, on sait que dans les langues humaines, les mots ne peuvent pas se combiner sans limitation, il existe un certain ordre, et ça s’appelle “l’ordre des mots”. Dans des langues différentes, l’ordre des mots n’est pas le même. Quelques langues, le chinois mandarin par exemple, ont un ordre assez strict, et d’autres langues, le français par exemple, ont un ordre plus libre. L’ordre des mots de deux langues qui appartiennent à deux familles de langues différentes ne peut pas être tout à fait le même, ce n’est pas seulement parce que leur structure grammaticale est différente, mais aussi parce que, dans un aspect plus abstrait, leur habitude d’utilisation est différente. Le chinois mandarin et le français ont des différences dans l’aspect de l’ordre des mots. Ce sont la position de l’apposition, du nom de l’orientation composée, de l’adjectif, de l’adverbe, et encore la structure de deux objets, le sujet de personne et de chose, l’intérrogative, l’angle, la pensée. Dans l’aspect de la relation correspondante entre les espèces de mots et les compositions de phrase, dans le chinois mandarin, cette relation correspondante est très complexe, ce n’est pas un pour un, mais un pour plusieurs. Une espèce de mots peut agir comme plusieurs compositions différentes de phrase : le nom est principalement le sujet ou l’objet, il peut également être le complément déterminatif, le complément circonstanciel et le prédicat ; le verbe est principalement le prédicat, il peut également être le sujet, l’objet et le complément ; l’adjectif est principalement le complément déterminatif, il peut également être le prédicat, l’objet, le complément circonstanciel et le complément ; l’adverbe est principalement le complément circonstanciel, il peut également être le complément, alors c’est selon la situation, on décide un mot qui appartient à quelle composition de phrase. Dans le français, la relation correspondante entre les types de mots et les compositions de phrase est simple : le nom est le sujet ou l’objet, le verbe est le prédicat, l’adjectif est le complément déterminatif, l’adverbe est le complément circonstanciel. Chapitre Ⅲ : Comparaison sur le plan du transfert interlingual entre le chinois mandarin et le français Dans l’aspect de la fonction et le sens du transfert interlingual, en raison du développement de la science et de la technologie, l’échange humain de langue est de plus en plus fréquent, la fonction sociale de la langue a également une promotion, ça cause des progrès des recherches de traduction dans la profondeur et la largeur, beaucoup de nouvelles théories et de méthodes sont présentées dans le domaine de la traduction. La traduction demande au maximum une fidélité du sens original, mais la fidélité ne signifie pas de traduire également les erreurs du texte original, il faut l’analyser et le juger, et puis, on fait une révision dans la traduction. La traduction est une science, car le transfert interlingual n’est pas libre, il doit observer lui-même certaines règles intérieures, le modèle et l’ordre des mots, afin d’éviter les erreurs logiques dans les structures des phrases, ce sont des conditions restrictives pour la traduction. La traduction est aussi un art, car elle doit prêter une grande attention à l’esthétique, la traduction à la surface peut laisser la traduction inconcevable et violer l’esprit original de l’auteur, alors le traducteur doit s’adapter aux textes différents, il faut d’abord comprendre complètement le texte original, puis choisir avec prudence les mots, et finalement, retoucher la traduction pour la laisser claire, fluide et facile à comprendre. Dans l’aspect des théories de la traduction, l’histoire du développement des théories de la traduction chinoise correspond fondamentalement à l’histoire de la traduction chinoise. Concernant les périodes de l’histoire de la traduction chinoise, différents érudits ont des opinions partagées, elle se divise généralement en quatre périodes : l’antiquité, les années de la fin de Dynastie Ching, 1912-1949 et après 1949. Les théories de la traduction à l’antiquité comprennent la traduction des ouvrages bouddhistes de Six Dynasties à la Dynastie Sung et les théories de la traduction des sciences, des techniques et de la religion des Dynasties Ming et Ching ; les théories de la traduction des années de la fin de Dynastie Ching (de la fin de la guerre d’opium à 54 mouvements) sont principalement les théories présentées par des figures publiques ; au début de la République de la Chine, en raison de la préconisation du mouvement de nouvelle littérature, beaucoup d’associations s’organisaient, les théories de la traduction ont été présentées par des personnes représentatives des associations célèbres ; après 1949, ce sont les érudits de la Chine continentale, de Hongkong et de Taïwan. Cependant, la théorie la plus influente sur la traduction chinoise, c’est la théorie “Les trois difficultés pour la traduction : la fidélité (信), l’expressivité (達) et l’élégance (雅)” qui a été présentée en 1898 par Yen Fu, dans la traduction de “L’évolution et l’origine des espèces”. Jusqu’à présent, cette théorie a déjà une histoire de plus de cent ans ; pendant ces années, on avait divers jugements d’elle, des louanges et des censures, mais elle est toujours la théorie principale de la traduction chinoise, même si les gens qui n’approuve pas cette théorie ne peut pas nier ce fait. “Fidélité” signifie la fidélité de l’oeuvre originale ; “expressivité” signifie l’expression claire du sens de l’oeuvre originale ; “élégance” signifie la perfection dans l’aspect du niveau des mots et dans l’aspect de l’acceptation des lecteurs ; ces trois conditions sont toutes importantes et indispensables. Les théories les plus influentes sur la traduction moderne sont les théories de l’Ouest : l’analyse des composants de phrase de structuralisme, les trois périodes des pensées principales de E. A. Nida, et la “grammaire générative transformationnelle” de N. Chomsky... etc. Dans l’aspect des principes du transfert interlingual entre le chinois mandarin et le français, la traduction est une expression de deux langues, le transfert peut se réaliser, parce que ces deux langues possèdent les conditions du transfert : la structure de langue, l’ordre des mots, la méthode d’expression et la structure de mots ; il existe quatre modes fondamentals du transfert interlingual : le transfert correspondant, le transfert parallèle, le transfert substitutif et le transfert conflictuel ; le processus du transfert interlingual est la compréhension, l’expression et la correction. Dans l’aspect des méthodes du transfert interlingual entre le chinois mandarin et le français, ce sont l’augmentation de mot, l’abréviation de mot, le transfert entre la phrase positive et la phrase négative, le transfert entre la phrase simple et la phrase composée, la traduction de voix passive, la répétition de mot et la conversion d’espèce de mots. Dans l’aspect des barrières du transfert interlingual entre le chinois mandarin et le français, en raison des caractères différents entre la langue originale et la langue traduite, quand on fait la traduction, on rencontre inévitablement des barrières du transfert interlingual, ce sont la barrière de la structure de langue, la barrière des utilisations habituelles, la barrière de l’expression sémantique et la barrière culturelle. Le transfert interlingual entre deux langues, ce n’est pas simplement la correspondance des caractères et des mots. Pour éliminer les barrières, le traducteur doit bien érudits comprendre bien non seulement la grammaire des deux langues, mais aussi leur culture. Il faut choisir de la langue traduite les mots les plus correspondants, après avoir compris le sens des mots de la langue originale. Alors, la traduction n’est pas uniquement le transfert de la surface de langue, c’est comprendre sa connotation profonde et son implication culturelle. Chapitre Ⅳ : Recherche du syntagme prépositionnel du chinois mandarin et celui du français Dans l’aspect des classifications et de l’utilisation des prépositions de chinois mandarin, le chinois mandarin possède environ 150 prépositions, il existe des différences internes, se sont les différences de source, les différences de niveau de langue, les différences de syllabe et les différences de suffixe. La plupart des prépositions de chinois mandarin moderne sont une évolution des verbes, quelques-unes d’entre elles possèdent encore les caractéristiques du verbe, cela cause le cumul d’espèce de mots ; les mots “ken” (跟), “han” (和), “yu” (與), “tung” (同) sont à la fois des prépositions et des conjonctions. L’omission et la répétition des prépositions chinoises incluent deux aspects : l’aspect sémantique et la position syntaxique. Les prépositions ne peuvent pas être utilisées toutes seules, il faut les mettre devant un nom, un groupe nominal, un pronom ou un groupe pronominal, et ces deux éléments composent un syntagme prépositionnel. Le syntagme prépositionnel du chinois mandarin comporte deux fonctions : la fonction syntaxique et la fonction sémantique. En ce qui concerne la fonction syntaxique, le syntagme prépositionnel est souvent le complément circonstanciel qui explique le verbe ou l’adjectif, il peut aussi être le complément déterminatif, mais pas le prédicat. En ce qui concerne la fonction sémantique, le syntagme prépositionnel du chinois mandarin peut exprimer le temps, le lieu, l’accompagnement, la manière, le moyen, la direction, l’attribution, la cause, le but, la comparaison, la limite, le fondement, la disposition et le passif... etc. La place du syntagme prépositionnel du chinois mandarin dans la phrase varie selon sa fonction sémantique et sa structure syntaxique. En somme, en chinois mandarin, le syntagme prépositionnel ne peut changer librement sa place dans la phrase. Sur le plan de la classification et de l’utilisation des prépositions, les prépositions françaises comprennent les prépositions simples et les locutions prépositives. Les prépositions simples, formées d’un seul mot invariable, consistent en prépositions proprement dites (à, avant, avec, chez, dans, de, depuis, en, entre, par, pour, sans, selon, sous, vers... etc.), les adjectifs (plein et sauf) ou les participes (attendu, concernant, durant, excepté, pendant, suivant… etc.) employés comme prépositions. Les locutions prépositives sont formées de deux ou plus de deux mots (à cause de, grâce à, quant à, avant de, faute de... etc.). Les prépositions simples et les locutions prépositives sont tous invariables et sans flexion. Les prépositions françaises introduisent souvent les compléments du verbe, de l’adjectif, de l’adverbe de quantité, du nom, ou le nom géographique. L’omission et la répétition des prépositions françaises incluent des aspects différents. Les syntagmes prépositionnels français sont formés d’une préposition simple ou d’une locution prépositive plus un nom ou un groupe nominal. Comme en chinois mandarin, ils peuvent exprimer, du point de vue sémantique, le temps, le lieu, l’accompagnement, la manière, le moyen, la direction, l’attribution, la cause, le but, la comparaison, la condition, l’opposition et la concession... etc. Dans la majorité de situations, ils ne font pas partie d’éléments de base d’une phrase, et le plus souvent, ils sont déplaçables, c’est-à-dire, ils peuvent se trouver en tête ou à la fin d’une phrase. Dans certains cas, un syntagme prépositionnel français peut aussi être mis à l’intérieur d’une phrase. La structure syntaxique la plus fréquente est “sujet + verbe + syntagme prépositionnel”, mais il existe également la structure “sujet + syntagme prépositionnel + verbe”. Certains syntagmes prépositionnels français ne peuvent se situer qu’à la fin de la phrase. Les syntagmes prépositionnels précédés des verbes “aller” ou “sortir” sont souvent liés au verbe et sont non déplaçables. D’une façon générale, la place du syntagme prépositionnel au sein de la phrase est relativement plus souple en français qu’elle est en chinois mandarin. En ce qui concerne la distinction entre le syntagme prépositionnel et le COI, le premier est déplaçable ou supprimable, sans le risque du changement de sens de fond, le COI par contre ne peut ni être déplacé ni supprimé ; le COI faisant partie du GV, sa préposition est étroitement liée au verbe. D’autre part, si le COI ne contient que deux prépositions : “à” ou “de”, le syntagme prépositionnel possède un éventail plus étendu de prépositions. La distinction entre le syntagme prépositionnel et le complément d’agent réside en ce que le complément d’agent ne peut être introduit que par les prépositions “par” ou “de” et qu’il est devenu le sujet quand la phrase est transformée en un énoncé actif. Or, le nom d’un syntagme prépositionnel ne peut être en aucun cas le sujet d’une phrase. En comparant les syntagmes prépositionnels du français avec ceux du chinois mandarin, on constate qu’ils ont tous les deux les mêmes composants, et sont employés fréquemment, et que les éléments qui suivent la préposition ne peuvent jamais être omis. En chinois mandarin, les syntagmes prépositionnels introduits par “ba” (把), “be” (被) et “bi” (比) et par les prépositions qui ont la même méthode d’utilisation avec ses trois prépositions ont les formes d’expression assez fixes dans le français. Ni en français ni en chinois mandarin, l’omission de la préposition n’est arbitraire. Néanmoins elle est beaucoup plus fréquente en chinois mandarin qu’en français. À part de légères différences dans la classification de la fonction sémantique des syntagmes prépositionnels dans les deux langues, par exemple le mot “bi” (比) est considéré comme une préposition en linguistique chinoise, tandis que son mot équivalent en français “plus” est classé dans la catégorie de l’adverbe en français. Contrairement en chinois mandarin où la place du syntagme prépositionnel est relativement limitée, elle est plutôt flexible en français. Chapitre Ⅴ : Trouver les caractéristiques de langue du chinois mandarin et celles du français par les exemples de syntagmes prépositionnels français et leur correspondance dans le chinois mandarin Dans l’aspect de la conversion d’espèce de mots dans la traduction interlinguale, la conversion d’espèce de mots est une méthode importante pour la traduction interlinguale, n’importe quelle conversion d’espèce de mots peut probablement être transformé sous la demande de la correspondance du sens. Quand la langue originale et la langue cible peuvent se correspondre dans la forme et le sens, on utilise la traduction littérale, mais dans la plupart des situations, les mots ou les expressions ne peuvent pas être transformés sans changer les espèces de mots, si l’on utilise quand-même la même espèce de mot de langue originale, ce genre de traduction à la surface va causer des erreurs, et il ne correspond pas à l’habitude de langue traduite, si l’on peut utiliser agilement la manière de la conversion d’espèce de mots, la structure va changer, cela non seulement permet une traduction claire et fluide, mais aussi exprime avec plus d’exactitude le sens du texte original. Donc la conversion d’espèce de mots est une méthode de traduction et aussi une façon de modifier la syntaxe. Le chinois mandarin et le français ont presque les mêmes espèces de mots, telles que verbe, adjectif, adverbe, pronom, préposition, conjonction... etc., mais il existe encore des différences, par exemple : le chinois mandarin n’a pas d’article ni de participe, le français n’a pas de classificateur ni d’auxiliaire, et puis ils n’appartiennent pas à la même famille de langue, il n’y a pas de relation homologue entre ces deux langues, leur structure interne de grammaire et leur habitude d’expression ont tous une grande différence, alors on utilise souvent la traduction sémantique, et cela fait de la conversion d’espèce de mots une méthode nécessaire et importante pour la traduction entre le chinois mandarin et le français. En quelle espèce de mot doit-on transférer une expression d’un texte original en texte cible ? Il n’existe pas de règles fixes, puisque un même concept ou une même pensée peuvent être exprimés de manières différentes, et que le traducteur travaille selon son habitude et son intuition langagières. En plus, on sait que pour la traduction, la fidélité du sens prime sur celle de la forme. Dans l’aspect de la correspondance des fonctions sémantiques dans la traduction interlinguale, avec les recherches profondes de la grammaire, on identifie clairement la différence entre la structure syntaxique et la structure sémantique. L’enseignement distingue la structure de phrase en trois parties : la structure syntaxique, la structure sémantique et la structure pragmatique, on sait qu’il y a des connexités et aussi des différences parmi eux. Puisque la structure sémantique est une partie de la structure de phrase, elle a de la valeur d’être recherchée indépendamment, et la fonction sémantique est une partie importante des recherches de structure sémantique. Il y a un grand nombre de formes de la classification de fonction sémantique, mais sa quantité ne surpasse pas la quantité complète de mots, alors on sait que la fonction sémantique a une caractéristique de limite. Malgré les différences dans l’écriture, la prononciation et la formation de mot, le chinois mandarin et le français ont la même classification de la fonction sémantique, cette situation signifie l’identité de langues dans la classification de fonction sémantique, c’est un phénomène commun de langues humaines. En outre, dans une phrase, quand la fonction sémantique de chaque mot ou chaque expression est déterminée, le déplacement dans la phrase ne change rien à sa fonction sémantique, c’est très stable. Et chaque espèce de mots peut prendre sa fonction sémantique, la même espèce de mots peut aussi posséder les fonctions sémantiques différentes, il n’y a pas de relations correspondantes certaines. La préposition est une unité sémantique placée devant un mot ou une expression. Dans le mémoire, les syntagmes prépositionnels sont classés selon la fonction sémantique : le temps, le lieu, l’accompagnement, la manière, le moyen, la direction, l’attribution, la cause, le but etc. Une étude comparative sur la fonction sémantique en français et en chinois mandarin a été menée. Il y a une grande différence entre le chinois mandarin et le français, souvent, en traduction, on ne peut pas s’occuper en même temps de la forme et du sens, donc il faut mettre le sens en premier. Afin de réaliser la correspondance du sens, on peut non seulement utiliser la conversion de l’espèce de mots, mais aussi faire attention à la relation correspondante sur la fonction sémantique, c’est un sujet qu’on peut discuter dans le domaine de recherches entre le chinois mandarin et le français. Dans le transfert interlingual, quand un syntagme prépositionnel du français est exprimé en chinois mandarin par un syntagme prépositionnel, nous pouvons alors étudier la position de celui-ci dans les deux langues. À ce sujet, trois modes distinctifs ont été relevés : correspondance totale, non-correspondance et correspondance intotale. La correspondance totale signifie que la position du syntagme prépositionnel dans ces deux langues au sein de la phrase est identique. La non-correspondance signifie que, en raison de leur grammaire différente, la position du syntagme prépositionnel de ces deux langues dans la phrase est totalement différente. La correspondance intotale sous-entend une correspondance totale de la position du syntagme prépositionnel dans les deux langues au sein de la phrase à la suite d’un changement volontaire de position du syntagme prépositionnel. En ce qui concerne les recherches des caractéristiques de la langue chinoise mandarine et française, d’après nos études, nous avons constaté qu’on utilise très souvent les syntagmes prépositionnels français, mais après la transformation en chinois mandarin, ils ne restent pas toujours des syntagmes prépositionnels. Dans les exemples, on peut s’apercevoir que, dans quelques situations, le transfert du syntagme prépositionnel est complètement équivalent, c’est-à-dire un syntagme prépositionnel du français est traduit en chinois mandarin par un SP, mais dans la majorité des situations, les syntagmes prépositionnels français sont exprimés dans le chinois mandarin comme des noms qui ont une omission de préposition, les adverbes ou les syntagmes verbals. Dans le transfert interlingual, il faut en fait non seulement exprimer le sens des syntagmes prépositionnels français par les mots propres ou les méthodes syntaxiques selon les situations, mais aussi traiter correctement leur fonction sémantique et leur position dans la phrase selon l’habitude de langue chinoise. Au moyen des recherches sur les exemples de la traduction entre le chinois mandarin et le français, on a réussi à déduire quelques caractéristiques de la langue chinoise et du français : –Le syntagme prépositionnel du français exprimé aussi par le syntagme prépositionnel en chinois mandarin (1)Utilisation du syntagme prépositionnel Le français a beaucoup de prépositions pour exprimer les relations entre un mot et un mot ou une expression et une expression. La quantité, la fonction grammaticale, le sens du mot et la fréquence d’utilisation des prépositions du français sont tous plus nombreux que ceux du chinois mandarin. Le français aime bien utiliser le nom aussi, alors l’utilisation du syntagme prépositionnel qui est composé par la préposition et le nom est donc très fréquente. Les prépositions chinoises ne sont pas très développées, mais dans la correspondance de transfert interlingual, les syntagmes prépositionnels français sont quand même souvent exprimés en syntagmes prépositionnels chinois mandarin. Excepté les formes de correspondance générale, on utilise le plus souvent la préposition chinoise “zai” (在) ou “cong” (從) plus un mot de direction “shang” (上), “xia” (下), “zuo” (左), “you” (右), “jian” (前), “hou” (後), “li” (裡), “wai” (外), “zhong” (中) pour composer un syntagme prépositionnel exprimant le temps ou le lieu, parce que certaines prépositions françaises ont un sens propre, par exemple, “sur” possède un sens de la position “en haut”, donc on peut employer dans le chinois mandarin le syntagme prépositionnel “zai...shang” (在…上). (2)Utilisation du syntagme prépositionnel avec omission de la préposition Dans le transfert interlingual entre le chinois mandarin et le français, l’omission de préposition n’est pas arbitraire, dans l’aspect du sens de mot, en général, on omet le plus souvent les prépositions qui ont une signification faible et un emploi fréquent, on omet très peu les prépositions qui ont un sens plus fort et qui sont employées moins fréquemment. On peut dire que, dans les exemples étudiés, les noms chinois mandarin qui sont transférés par les syntagmes prépositionnels français sont tous des noms de temps ou de lieu qui omettent la préposition “zai” (在), c’est comme les conditions de l’omission de préposition cité plus haut : “sens moins fort et emploi plus fréquent”, et après l’omission, le sens ne change pas, il exprime encore complètement le sens du texte original, alors ces noms de temps et de lieu sont d’abord les syntagmes prépositionnels, ils omettent les prépositions et puis deviennent les noms. –Le syntagme prépositionnel du français exprimé par l’adverbe en chinois mandarin L’adverbe chinois est souvent exprimé en la forme “...ti” (…地). On peut voir, dans les exemples, excepté l’adverbe de temps, la plupart des adverbes chinois mandarins se terminent en “ti”. Le français a également beaucoup de formes d’adverbes, par exemple, le suffixe “-ment” postposé après un adjectif, mais le français n’emploie pas souvent le suffixe “-ment”, c’est une caractéristique de langue française. D’après notre analyse des exemples, nous avons remarqué qu’en français, l’adverbe “-ment” ne s’emploie pas souvent et que l’adverbe du chinois mandarin est souvent traduit en français par un syntagme prépositionnel. Cela signifie que l’utilisation de l’adverbe en français est moins fréquent que l’emploi de l’adverbe en chinois mandarin. –Le syntagme prépositionnel du français exprimé par le syntagme verbal en chinois mandarin Dans le transfert interlingual entre le chinois mandarin et le français, un grand nombre de syntagmes prépositionnels français est exprimé comme les syntagmes verbals en chinois mandarin, nous pensons que, d’une part, c’est parce que les prépositions et les verbes chinois ont une caractéristique commun, ils peuvent tous les deux se composer d’un syntagme plus un complément d’objet - le nom derrière, et d’autre part, la plupart des prépositions du chinois mandarin moderne sont une évolution des verbes, quelques-unes entre elles possèdent encore les caractéristiques du verbe. Et puis, le chinois mandarin aime bien employer le verbe, car le verbe chinois n’a pas la flexion, elle est très pratique à utiliser. Le chinois mandarin apprécie aussi la description dynamique, donc quand on exprime des pensées complexes, on utilise les verbes, à l’ordre du temps et de la logique, l’un après l’un. Cela peut donner un sentiment vivant. Dans le chinois, on peut utiliser successivement les verbes. Chaque verbe représente un mouvement, il n’a pas besoin d’expressions conjonctives parce que les événements ont toujours lieu en même temps ou coup sur coup, alors il ne cause pas la confusion des phrases. La caractéristique du verbe chinois est très fort sur la syntaxe, donc dans le transfert, quelquefois, on traduit seulement le verbe central, et le reste peut être transformé en syntagmes prépositionnels français ou en autres espèces de mots. Ensuite, le chinois est la langue de supériorité du verbe, le verbe exprime souvent la direction, le but etc. d’un mouvement, ainsi, quand la préposition d’un SP français exprime la direction et le but d’un mouvement, qui a le sens de l’action, on la transforme souvent en verbe, et cela devient un syntagme verbal. Les exemples démontrent également que quand un syntagme prépositionnel français est exprimé par un syntagme verbal en chinois mandarin, beaucoup de verbes chinois suivent un auxiliaire temporel “zhe” (著) pour exprimer une action qui dure ou “le” (了) pour marquer l’achèvement de l’action. En français, on exprime généralement ces situations par la flexion du verbe, mais on peut également utiliser le syntagme prépositionnel. De ce fait on sait que l’emploi et le domaine d’expressivité des syntagmes prépositionnels français sont très répandus. La fonction sémantique est une fonction importante pour les syntagmes prépositionnels français. Pour relever la fonction sémantique d’une expression, il faut tenir compte de la phrase entière et comprendre bien non seulement la relation sémantique entre cette expression et son devant et derrière, mais aussi son contexte. On peut alors trouver leur fonction sémantique correcte. L’analyse de la fonction sémantique dans le transfert interlingual utilise le principe de contraste : trouver la fonction sémantique des expressions de deux langues par l’analyse des expressions correspondantes, et puis, faire la comparaison. Après avoir comparé la fonction sémantique des syntagmes prépositionnels français et les expressions correspondantes dans le chinois mandarin, on sait que leur fonction sémantique est presque toujours identique, bienque dans le chinois mandarin, les syntagmes prépositionnels français soient quand même des syntagmes prépositionnels (syntagme prépositionnel et nom qui omets la préposition) ou ils deviennent des adverbes ou des syntagmes verbals. Ainsi, dans le processus du transfert interlingual, la fonction sémantique ne peut pas changer avec la conversion d’espèce de mot. Dans l’aspect de la position dans la phrase des syntagmes prépositionnels du français et celle du chinois mandarin, après l’analyse des exemples “le syntagme prépositionnel français est exprimé également comme syntagme prépositionnel dans le chinois mandarin”, on sait que les places de certains syntagmes prépositionnels français et chinois mandarin correspondent dès l’origine, et les autres syntagmes prépositionnels qui n’ont pas de positions correspondantes peuvent la plupart du temps correspondre après le changement de place. La position de la majorité des syntagmes prépositionnels français et chinois mandarin est changeable dans la phrase, si leur position devient correspondante, cela peut être le changement de place du syntagme prépositionnel français, du chinois mandarin ou des deux, selon l’habitude d’utilisation et l’intuition personnelle de langue. Cependant, si on analyse ces situations, on peut découvrir que le déplacement des syntagmes prépositionnels français est plus fréquent, parce qu’ils sont plus souples, quand le changement de position du syntagme prépositionnel chinois mandarin ne peut pas le faire correspondant avec celui du français, on change la position de syntagme prépositionnel français pour réaliser la correspondance de leur place. Mais il existe encore des incorrespondances. Les noms chinois mandarins qui omettent la préposition sont les syntagmes prépositionnels à l’origine, donc quand les syntagmes prépositionnels français sont des noms qui omettent la préposition dans le chinois mandarin, la correspondance de place est également une part importante pour la recherche. Après l’analyse des exemples, on sait que beaucoup de syntagmes prépositionnels du français ont une position identique avec ceux du chinois mandarin : tous les syntagmes prépositionnels qui signifient le temps se situent à la tête, et ceux-ci qui signifient le lieu se situent à la tête ou à la queue de la phrase ; ceux qui ont des positions différentes peuvent se correspondre après le changement de position. Ainsi, la correspondance de place de la plupart des syntagmes prépositionnels français et chinois mandarin dans la phrase est accessible, et la place des syntagmes prépositionnels français est plus élastique. Chapitre Ⅵ : Conclusion Dans ce chapitre, je fais d’abord un récit des essentiels du mémoire, puis le point de vue sur le développement du domaine de comparaison de langue française et chinoise, finalement l’espérance de ma future recherche.
論文目次
論文目次

第一章:緒論………………………………………………………………… 1
第一節:研究動機……………………………………………………………………… 1
第二節:研究設問……………………………………………………………………… 3
第三節:研究方法……………………………………………………………………… 3
第四節:研究範圍……………………………………………………………………… 6

第二章:漢語與法語在語言學層面的比較………………………………… 8
第一節:漢、法語在文字系統上的比較 ……………………………………………… 8
第二節:漢、法語在詞彙上的比較…………………………………………………… 12
第三節:漢、法語在語言形態上的比較……………………………………………… 16
第四節:漢、法語在語序上的比較…………………………………………………… 19
第五節:漢、法語在詞類與句子成份對應關係上的比較…………………………… 23
小結.……………………………………………………………………………………25

第三章:漢語與法語在語際轉換層面的比較 …………………………… 27
  第一節:語際轉換的功能與意義 …………………………………………………… 27
第二節:翻譯理論 …………………………………………………………………… 28
  第三節:漢、法語際轉換原理………………………………………………………… 32
  第四節:漢、法語際轉換方法………………………………………………………… 38
  第五節:漢、法語際轉換障礙………………………………………………………… 42
  小結.……………………………………………………………………………………46

第四章:漢、法語介詞詞組探討 ………………………………………… 49
第一節:漢語介詞的分類與使用 …………………………………………………… 49
第二節:法語介詞的分類與使用 …………………………………………………… 58
第三節:漢、法語介詞詞組比較 …………………………………………………… 64
小結.……………………………………………………………………………………71

第五章:由法語介詞詞組在漢語中的對應實例看漢、法語言特性…………………………………………………………………………… 74
第一節:語際轉換的詞類轉換手段 ………………………………………………… 74
第二節:語際轉換的語義功能對應 ………………………………………………… 77
第三節:語際轉換的介詞詞組位置對應 …………………………………………… 79
第四節:《靈山》、《妻妾成群》、《脂肪球》、《異鄉人》文本片段分析 …………… 81
第五節:漢、法語言特性探究 ……………………………………………………… 94
小結.……………………………………………………………………………………99

第六章:結論……………………………………………………………… 101

參考文獻 ………………………………………………………………… 105

附錄:台灣及中國漢、法語言比較與翻譯文獻 ………………………… 111


圖表目次

【圖一】研究方法架構圖………………………………………………………………… 4
【圖二】漢、法原語文本詞類轉換、語義功能與位置對應圖……………………………………………………………………… 5
【圖三】印歐語言及漢語的詞類與句子成份對應關係圖…………………………… 23
【圖四】漢語詞類與句子成份對應關係圖(1)………………………………………… 23
【圖五】漢語詞類與句子成份對應關係圖(2)………………………………………… 24
【圖六】翻譯過程示意圖……………………………………………………………… 32
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